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Surconsommation

Comment éviter la surconsommation à Noël: offrir au lieu d'acheter, pour donner du sens!

Extraits de l'émission « On en parle » du 17.12.2012 de la Radio Suisse Romande. Interview d'Eric Jaffrain par Anouk Merz, au sujet de la surconsommation qui a lieu pendant les fêtes de fin d'année.

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03.01.2013 14h36

Coup de pub ?

Émission TV suisse: L'armée du Salut à l'Eurovision : un bon coup de « Public Relation » ?

Extrait de l'interview d'Eric Jaffrain par Aline Bachofner dans l'émission de la télévision Suisse « Faut pas croire » du 8 décembre 2012.


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18.12.2012 17h23

CONFERENCE

A Tours (France) le lundi 3 décembre 2012. Thème : Comment être un gagnant, malgré les épreuves de la vie ?

L'économie de marché ne tolère pas la faiblesse, et est devenue une économie totalitaire et violente.
De fait, la vulnérabilité sociale, économique ou tout simplement personnelle, est perçue comme un handicap.
Pourtant, la vulnérabilité à toujours été à la base du succès et des grands projets : c'est un autre secret du don…

Conférence le 3 décembre 2012 - 19h00
Au pôle Equa Santé
3 Bd Alfred Nobel
37540 St Cyr sur Loire
Info + et inscription à : Terre de Couleur Tél : 02 47 88 02 72
www.terredecouleur.fr

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20.11.2012 21h58

Prochain cours

...en marketing non-marchand. Les 5 et 6 décembre 2012 Université de Fribourg

Objectif du cours:
- Comprendre la différence entre le marketing dit classique et le marketing non-marchand
- Comprendre les enjeux d'une nouvelle forme de marché dit holistique
- Mettre en pratique le concept au moyen d'études de cas
- Comprendre les enjeux socioéconomiques du marketing non-marchand
- Saisir les clés d'une autre performance économique

Infos + et inscription sur le site de l'Université : http://www.heg-fr.ch/fr/cas/gestion_durable/cours

Téléphone: 026 429 63 67 (68)
Email: gestion-durable@hefr.ch

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17.08.2012 10h09

ARTICLE PRESSE

Marketing et entreprise sociale

L'entreprise sociale ne devrait pas exister.

Un article dans le mensuel Suisse "Pages romandes" de juin 2012.

Je n'approuve pas le concept d'entreprise sociale, même si l'idée de base est louable, car l'entreprise DOIT être sociale dans son fonctionnement. Au risque de choquer, créer des entreprises sociales revient au même concept que la monoculture : on fait du « monosocial ». La mondialisation à créé la globalisation, puis la spécialisation dans bien des domaines : dans l'agriculture donc, mais aussi dans le médical, l'industrie, et… dans l'aide sociale.

Une dualité constante
Cette « monosocialisation » affranchit l'économie de marché, et donc le politique, à s'engager d'intégrer TOUS les acteurs d'une société dans ses activités. L'entreprise sociale est démagogique car elle augmente le clivage fort – faible.
La question sociale est plus souvent un sujet de conflit que d'enjeu ordinaire ou d'utopie dans le management stratégique des entreprises ou des États. Il y a ceux qui excluent (l'économie de performance) et ceux qui défendent (groupes d'insertion sociale). Dans les deux cas, soit l'exclu est le sujet handicapant qu'il faut écarter de l'économie de marché, soit l'exclu doit être défendu pour lui donner un espace protégé. Mais ces deux positions sont nées par, dans et pour l'univers capitaliste, qui ne peut voir autrement qu'une dualité entre l'économie et le social.
Il est vrai cependant que la frontière est moins importante aujourd'hui, entre la PME et les organisations de l'ESS1, mais elle sera d'avantage flou car chacune a des objectifs opposés, et n'ayant pas un vrai projet de société commun : Se fiancer ne veut pas dire mariage. Le profit ne fait pas bon ménage avec la personne vulnérable.

Une insertion dans une économie malade
Il reste que des élans généreux ont fait émerger des structures au service des exclus :
Globalement, dès le 19ème siècle dans le domaine de la pauvreté, vers les années 50 dans la précarité due au chômage, puis vers les années 80, dans le domaine de l'handicap physique ou psychique. Ces grandes tendances montrent que ces structures ont une plus une finalité sociale, dans le sens accueil ou protection, que du « vivre et accueilli » en société. C'est à partir de ce constat entre autre que les années 80-90 ont vue naître des entrepreneurs sociaux comme aux USA puis en Europe. Coopératives, associations, ou entreprises, un nouvel élan semblait trouver des solutions en y incluant l'aspect économique. On parle alors d'entreprise sociale, d'économie sociale et solidaire, jusqu'à être considéré comme le tiers secteur économique dans certains pays d'Europe.

Même si l'on peut louer les efforts pour aider les vulnérables et les exclus, je ne crois pas à cette approche, car trop sectorielle, et qui suppose que le fondement de notre économie de marché est juste et équitable. Or nous savons tous qu'elle est basée sur un comportement Darwinien, où le plus fort mange le plus petit, et que même avec ses crises mortelles actuellement, elle ne peut accepter du social sans qu'il y ai une réforme dans son cœur. Si l'entreprise sociale a un but social avoué, ses objectifs sont fortement économiques. Et même si elle bénéficie de subventions, elle est aussi confrontée à la concurrence, perçue comme déloyale pour certains. Espérer ou tenter d'insérer des exclus en les parquant dans une économie malade et totalitaire est un leurre !

Une mauvaise morale dans l'économie de marché
Dans la plupart de mes travaux d'analyse en entreprise ou dans le social, je considère qu'une erreur majeure est à l'origine de la plupart des crises actuelles (crise financière, économique, sociale, ou encore crise de santé personnelle au travail) : celle d'atteindre des objectifs de rentabilité ou de profit, au détriment d'une vision de société.
Cette sainte performance à laquelle l'économie de marché s'est dévouée, a peu à peu créé de nouveaux exclus : celles et ceux qui n'atteignaient pas les objectifs dictées par cette économie totalitaire...


Pour avoir l'article complet d'Eric Jaffrain, contactez l'éditeur de Pages romandes sur :
http://pagesromandes.ch/2012/06/13/travail-avec-handicap/


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29.06.2012 09h01

Interview

ET SI VOUS APPLIQUIEZ LA TRILOGIE DU BMB ? Une interview d'Amélie Moynot, journaliste à actionCo.fr

Pour Eric Jaffrain, consultant en entreprise, formateur et fondateur du site Marketing-non-marchand.ch, la fidélisation n'est pas qu'une affaire d'espèces sonnantes et trébuchantes, de programmes de fidélité toujours plus proches du client et de sollicitations multiples à son égard.
Interview.


Vous êtes l'auteur d'un site Web dédié à ce que vous appelez le marketing non-marchand. Qu'entendez-vous par là ?

- Le marketing non marchand est fondé sur la notion de don. Il ne s'agit plus de considérer le client comme un consommateur, mais comme un donateur, à la fois de son temps et de son argent. Il s'agit en priorité de répondre à ses besoins et non pas de le considérer comme une source de profit pour l'entreprise. L'important n'est pas de répondre à ses propres impératifs, mais d'abord à ceux du client, ce qui, par ricochet seulement, servira les siens.

En effet, tout client satisfait augmente son adhésion à la relation et donc contribue à l'augmentation du chiffre d'affaires de l'entreprise. Chercher à le satisfaire est le meilleur moyen de le fidéliser durablement. La fidélisation doit être une résultante et non un objectif de la relation commerciale. La relation humaine reste l'élément le plus fondamental de l'économie.


Quels outils mettre en place pour fidéliser efficacement ?

- La fidélisation repose d'abord sur la notion de réciprocité. Au début de la relation, il faut accueillir, reconnaître son client. Le “Bonjour”, premier pilier de la trilogie du “BMB”, n'est pas une simple politesse mais une façon d'entrer dans la zone de réciprocité. Cela instaure une véritable confiance entre les personnes. En rendez-vous client, cela passe par une écoute attentive du client et par le fait de privilégier l'expression de ses besoins et les questions plutôt que l'exposition de son offre.
Après l'acte d'achat, lui dire “Merci” n'est pas une simple façon d'être poli mais de lui témoigner de nouveau cette reconnaissance et de renforcer la confiance. Ce “Merci” est la deuxième composante de la trilogie.
Enfin, troisième et dernier élément de cet ensemble, il s'agit de faire entrer le client dans une communauté en lui souhaitant “Bienvenue” dans son univers. Il s'agit alors de lui proposer des services associés à la vente (le SAV) tout en veillant à conserver un lien relationnel fort avec lui.


Comment aller encore plus loin ?

- Il faut penser à enrichir vos bases de données avec ces items qualitatifs et ne pas répertorier seulement les achats effectivement réalisés. Par exemple, gardez une trace des documents échangés, même si cet échange n'a pas (encore) débouché sur un achat. Par ailleurs, vous devez constamment travailler ces bases de données en accomplissant des actions de prospection sur vos clients. En effet, ce serait une erreur de croire qu'un client ayant effectué deux ou trois achats est forcément fidèle.
Ensuite, encouragez vos commerciaux à rappeler le client après deux mois et à s'intéresser à l'usage du produit qu'ils ont vendu. De façon générale, ils sont bien trop peu nombreux à le faire.

Enfin, si le client est un donateur, vous pouvez aussi de votre côté privilégier les dons à son égard : temps, attention, produit, etc. Cela aide le client à se sentir reconnu comme une personne à part entière ayant des besoins : Un argument central dans la fidélisation !

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26.04.2012 17h01

ARTICLE PRESSE

"L'économie en question", un article paru dans le mensuel Diagonal, magazine romand de la santé mentale

Une interview dans le numéro de janvier-février.

"Dans le cadre de la journée mondiale de la santé mentale à Fribourg, un des invités, Eric Jaffrain, Consultant et formateur, a décortiqué dans sa conférence les maux qui gangrènent l'économie. Quelques propos en marge de son intervention"

Pour lire l'interview, contacter le Graap sur : http://www.graap.ch/content/view/139/160/

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10.02.2012 11h47

CONFERENCE vente

La guérison de l'économie A Tours (France). Jeudi 8 décembre 2011

L'entreprise Terre de Couleur, fabriquant de produits cosmétiques, organise une conférence ouverte à tous.

Le jeudi 8 décembre 2011 à Tours (France), 18h. Entrée libre.
En soirée: repas (20€), sur inscription.
Lieu : Centre ville de Tours. 4 rue Nationale (Brasserie L'Adresse).


Thème: LA GUÉRISON DE L'ÉCONOMIE

L'économie est en crise, le marché de la finance est à l'agonie, le marketing cherche des moyens pour augmenter le chiffre d'affaire, les stratégies politiques peinent à trouver des moyens de résoudre ces crises, sans compter que la performance et la croissance cherchent leurs voies...

Augmenter son chiffre d'affaire est le rêve de toute direction marketing, et bien sûr des actionnaires.
Chacun sait que le secteur commercial peine à avancer ou à trouver des moyens pour vendre plus: il faut être performant, faire consommer plus, et financer la croissance.

Est-ce vraiment le bon axe aujourd'hui ?
Cette conférence vous donnera quelques réponses...

Pour s'inscrire:
Aller sur le site de terre de couleur.
www.terredecouleur.fr ou au 02 47 88 02 72.



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16.12.2011 06h13

Conférence à Lausanne

Changer l'Église, d'accord : mais comment? Jeudi 17 novembre 2011 à 20h.15 à Lausanne, Église Saint-Laurent.

Grand débat, jeudi 17 novembre à 20h15 à l'église Saint-Laurent à Lausanne, autour des défis d'une Eglise réformée pertinente pour aujourd'hui et pour demain.

Les Eglises réformées sont touchées par des changements sans précédent:

- les transformations sociales et religieuses contemporaines les fragilisent;
- une crise démographique majeure les obligent à se redimensionner et à se redéployer, en particulier dans l'espace urbain;
- toujours à réformer au nom de la fidélité à l'Evangile, elles n'ont pas à craindre de revoir leur mission et leurs priorités.

Une occasion de dialoguer avec un pannel d'intervenants capables de poser un diagnostic pertinent sur la situation actuelle, et de proposer des solutions constructives pour induire un processus de changement en profondeur.

Avec :
- Eric Fuchs , professeur honoraire de théologie et d'éthique, et
- Pierre Glardon, pasteur, Office des Ressources Humaine de l'EERV, co-auteurs du livre Eglise réformée, la crise : une crise à dépasser (à paraître aux éd. Ouvertures).
- Hans Strub, pasteur, Weiterbildungskirche de Zurich, initiatieur des sessions Eglise en ville
- Daniel Alexander, sociologue et pasteur, membre du conseil régional de la région Lausanne- Epalinges

Préopinant : Éric Jaffrain, consultant, spécialiste du marketing non marchand.

Débat animé par Laurent Bonnard, journaliste.

Organisé la le Conseil Régional Lausanne - Epalinges de l'EERV (Eglise Réformée du Canton de Vaud).

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10.11.2011 18h38

FORMATION marketing

2 jours en marketing non-marchand à l'université de Fribourg.

Le 3 et 4 novembre 2011.

Dans le cadre du cycle "gestion durable" l'université de Fribourg organise 2 jours de formation pour faire découvrir les principaux fondements du marketing non-marchand.


Les objectifs :
- Comprendre la différence entre le marketing dit classique et le marketing non-marchand
- Comprendre les enjeux d'une nouvelle forme de marché dit holistique
- Mettre en pratique le concept au moyen d'études de cas
- Comprendre les enjeux socioéconomiques du marketing non-marchand
- Saisir les clés d'une autre performance économique


Formation par Eric Jaffrain

Infos plus et inscription :
http://www.heg-fr.ch/f/cas/gestion_durable/cours

Voir le marketing non-marchand dans la liste "cours de base"

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24.10.2011 10h57

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