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Interventions d'Eric Jaffrain dans les médias

COMMERCE ÉQUITABLE

Radio TV Suisse (RTS), la 1ère, émission "en ligne directe", le 6 novembre 2014.

Sujet : "Le commerce équitable a-t-il perdu son âme?"

Trop de compromissions, pas assez de transparence: l'ONG Max Havelaar est sous le feu des critiques. Le "fairtrade" s'est-il trop éloigné de son esprit d'origine?

Invités:

Florie Marion, porte-parole romande de Max Havelaar,
Christiane Fischer, coordinatrice romande de l'association Magasins du Monde,
Claude Auroi, professeur honoraire à l'Institut des hautes études internationales et du développement de Genève et
Eric Jaffrain, consultant en marketing pour différentes ONG notamment.

Pour écouter l'émission :
http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/en-ligne-directe/




OBSOLESCENCE DES PRODUITS

L'obsolescence des produits en débat à la Radio Suisse Romande mardi 30 septembre 2014 de 8h à 8h30.

A l'heure ou la France et la Suisse, entre autre, pense à légiférer, voire "sanctionner l'obsolescence volontaire des produits" des questions se posent sur la pertinence ou non d'une telle démarche.
Avec d'autres invité Eric Jaffrain a partagé quelque uns de ses points de vue sur la question.

Ecoutez l'émission sur le site de la RTS.

D'autres infos dans la rubrique "Tendances", ou cliquez sur ce lien : http://www.marketing-non-marchand.ch/1107-un_marche_programme




CRÈCHES

Quelle vision pour les crèches ? Émission "En ligne directe" sur la Radio Suisse Romande, le mercredi 22 janvier 2014.

Plus d'enfants confiés à un adulte et moins d'éducateurs diplômés équivaut à davantage de places en crèches.
Genève doit prochainement voter sur ce calcul. Est-il sans danger?
Peut-on assouplir la réglementation sans sacrifier la qualité?

Invités:
Philippe Stéphan, pédopsychiatre à l'Hôpital de l'enfance à Lausanne,
Eric Jaffrain, Consultant et Professeur en Marketing non marchand.

Pour écouter l'émission :
http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/en-ligne-directe/5529438-creches-peut-on-assouplir-la-reglementation-sans-sacrifier-la-qualite.html






Septembre 2013
RSR, la 1ère, émission "en ligne directe"

Avez-vous toujours confiance en l'aide humanitaire ? L'exemple de l'échec d'Haïti

Ecouter l'émission « En ligne directe » du 25 septembre 2013:

http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/en-ligne-directe/5220490-avez-vous-toujours-confiance-en-l-aide-humanitaire.html

Journaliste : Eric Jaffrain, allez-vous continuer à faire des dons, avez-vous toujours confiance en l'aide humanitaire ?

L'urgence humanitaire est extrêmement relayée par les médias aujourd'hui, par les médias sociaux notamment. L' internet y est pour beaucoup, on l'a vu pendant la crise au Moyen-Orient. Le problème, c'est « comment réagir face à l'attente du particulier, qui dit qu'il faut absolument réagir sur le terrain ? », sachant que ce sont les ONG qui sont capables d'agir le plus vite. Rares sont les gouvernements qui agissent avant les ONG. Ces dernières ont donc besoin de faire des appels aux dons et c'est là qu'il y a un énorme problème, car il y a un manque d'unité concernant ces appels. Alors que les ONG parviennent très souvent à collaborer sur le terrain, au niveau de la collecte des fonds, c'est « chacun pour soi ». Cela pose problème et remet sur le tapis la question de la confiance et de l'efficacité d'une ONG sur le terrain. Le donateur a besoin de savoir que son don fait une différence. Or, lorsqu'il entend qu'une ONG ou qu'un organisme comme la « Chaîne du Bonheur », par exemple, met de l'argent de côté ou vit des difficultés de mise en oeuvre de ses projets sur le terrain, l'effet boomerang sur le terrain des donateurs est extrêmement important. Le manque de confiance vient aussi du manque de transparence ou de relation entre l'action sur le terrain et le donateur.

Aujourd'hui, l'humanitaire ne peut plus être « Nord-Sud ». Des pays riches vers les pays pauvres. Nous vivons dans un contexte mondialisé. On ne peut plus considérer les bénéficiaire de l'aide humanitaire comme des « petits », lors que nous serions les « grands qui savons tout». La mondialisation provoque, via internet, une immédiateté de la crise, qui fait penser à une « sur-enchère de la crise » : on ne sait plus quelle crise va prendre le dessus, dans le secteur des appels aux dons. Parallèlement à cela, l'énorme problème qui touche l'humanitaire, c'est que les besoins financiers sont tels que les ONG ont développés avec les gouvernements des contrats-cadres, c'est-à-dire des lois et des règlements qui ont provoqués la professionnalisation des ONG, et par cela la perte du lien social, à la fois avec le donateur et avec le terrain. L'ONG est par essence créatrice de lien social. Lorsqu'elle devient une machine d'urgence, ou une machine à collecter des dons, il y a un problème.






Comment éviter la surconsommation ?

Extraits de l'émission « On en parle » du 17.12.2012 de la Radio Suisse Romande. Interview d'Eric Jaffrain par Anouk Merz, au sujet de la surconsommation qui a lieu pendant les fêtes de fin d'année.

Ecouter l'interview (en bas de la page, "Comment éviter un Noël trop commercial"): http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/4477532-on-en-parle-du-17-12-2012.html

Anouk Merz : Même conscients de la surconsommation qui a lieu pendant les fêtes de fin d'année, nous n'arrivons pas à y échapper, pourquoi ?

Eric Jaffrain : Historiquement, dans les années 1950/60 nous sommes entrés dans une économie de marché, qui nous a amené à une course effrénée vers la consommation. Dans cette économie totalitaire, l'homme est un objet de ressources avant d'être un citoyen, et il est devenu très difficile de résister à l'appel de la consommation : « je fais des cadeaux de Noël, parce que j'y suis obligé » !
Aujourd'hui, on a complètement perdu le sens de ce que peut être une fête de Noël, puisqu'on est davantage orienté, décidé par l'économie et l'argent que par le don, alors que le maître-mot de Noël, c'est justement le don.

AM : Mais comment en sommes-nous arrivés là ?

EJ : Avec l'arrivée d'un nouveau libéralisme économique des années 1950, le concept de « liberté » s'est totalement inversé : alors qu'auparavant, ce sont les états qui étaient totalitaires, aujourd'hui, c'est l'économie qui dirige la vie sociale et qui implicitement dirige la vie de famille. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, nous sommes dépendants d'une décision collective : nous sommes complètement dirigés, téléguidés, fagocités par l'économie, qui nous contraint dans nos choix individuels.

AM : C'est extrêmement difficile d'aller à contre-courant...

EJ : Faut-il résister ? Oui, mais pas pour être révolutionnaires et simplement « être contre », mais pour donner du sens à Noël.

Rébecca Reymond






Décembre 2012
Article publié dans le tabloïd périodique suisse « 1/4 d'heure pour l'essentiel »

« Donner, c'est investir »

Pour Eric Jaffrain, expert en marketing non-marchand, la générosité dépend de l'héritage religieux. Entretien

Pourquoi les gens donnent-ils suite à des appels de fonds ?
En Europe, dans les pays latins d'arrière-plan catholique, les gens donnent pour faire leur bonne action. Dans les pays d'arrière-plan protestant que sont les pays anglo-saxons et la Suisse (le pays donateur le plus généreux au monde), le don est davantage perçu comme un investissement.
Dans les pays latins, le don du riche pour le pauvre est suffisant pour garantir sa survie, mais insuffisant pour le faire sortir de son état de pauvreté.

En terre protestante, on assiste d'abord au don solidaire, au don investissement. Le message que fait passer le donateur est le suivant : «Je t'aide pour que tu t'en sortes», sous-entendu «il n'est pas normal que tu sois pauvre».
On retrouve des expressions de cette culture protestante en Suisse. L'hymne national et le slogan «Dominus Providebit» (Dieu pourvoira) sur les pièces de 5 francs en témoignent.

Le don, est-ce une histoire de relations ?
Dans les pays d'origine protestante, celui qui donne le fait en attendant un retour sur investissement. Il espère que son don sera utile et bien utilisé. Et donc, oui, il cherche à établir, par son don, une relation avec celui qu'il aide.

L'idée de l'amour du prochain semble présente dans l'esprit d'un certain nombre de donateurs, si l'on en croit le sondage de «Quart d'heure pour l'essentiel». Le don serait-il un acte religieux ?
Dans votre sondage, les gens sont plus nombreux à dire que l'amour du prochain inspire leur don que ceux qui se qualifient de croyants pratiquants. C'est un signe de leur attachement conscient et inconscient à Dieu, à la Bible et aux valeurs qu'elle véhicule. Ne nous leurrons pas : sans valeurs, il n'y a pas de solidarité. Et une valeur est forcément religieuse, spirituelle ou utopique.

Ceux qui ne donnent pas n'ont-ils rien compris ?
Certains ne donnent rien, avec un taux plus élevé parmi les riches. Mais prenons le cas des jeunes : ils n'ont souvent pas les moyens d'exprimer leur générosité financièrement. Ils le font en donnant de leur temps, comme moniteurs ou bénévoles par exemple. Ceux qui expriment leur générosité financièrement sont principalement les femmes, dès l'âge de 35 ans et majoritairement les 60 ans et plus.

La crise va-t-elle influencer la générosité ?
Dans un récent sondage, 30% des Français ont indiqué qu'ils allaient arrêter de donner. La conséquence pourrait être 25% de dons en moins !

Que se passerait-il si les gens arrêtaient de donner ?
Nous assisterions à une véritable catastrophe sociale, car les organisations caritatives sont les acteurs du ciment social. Cela est vrai à l'échelle internationale, mais aussi dans la proximité : que serait une nation sans le club de football local et sans club de lecture ?

Propos recueillis par Christian Willi






8 décembre 2012
L'armée du Salut à l'Eurovision : un bon coup de « Public Relation » ?

Extrait de l'interview d'Eric Jaffrain par Aline Bachofner dans l'émission de la télévision Suisse « Faut pas croire » du 8 décembre 2012

Visionner l'émission :
http://www.rts.ch/video/emissions/religion/faut-pas-croire/4492274-les-eglises-font-leur-pub.html

AB : (A propos de la participation de l'Armée du Salut à la finale de l'Eurosong 2012) Est-ce qu'il faut qu'il y ait une adéquation entre l'image et le message qu'une église communique, ou est-ce que finalement, le marketing, c'est vendre du rêve, et si c'est sympa, ça passe ?

EJ : Le problème, c'est que lorsque l'on parle d'image du monde religieux, cela fait écho à ce qu'on appelle l'image résiduelle, qui est principalement liée au : « vieux jeu, ringard, passéiste, moyenâgeux »,... et sans compter les interdits pour les Catholiques et le libéral-humanisme pour les Réformés, par exemple. C'est l'image perçue par le public, son image résiduelle.
Lorsque l'Armée du Salut arrive et commence à chanter un chant plutôt rock, plutôt « bon enfant », sympa et dynamique, on est déjà en porte-à-faux avec cette image perçue : ça ne va pas, ça ne colle pas à l'image que le grand public se fait d'un groupe religieux.
Mais on pourrait dire que leur démarche, à savoir de faire du « Public Relation » est une bonne chose, dans la mesure où leur but est de modifier cette fameuse image résiduelle et de montrer « comme ils sont vraiment ». [...]
La question de fond reste : « est-ce que j'ose communiquer le religieux comme n'importe quel produit pour être accessible ? Ou est-ce que du fait de l'image résiduelle que j'ai, que j'ai cultivée parfois même de façon intentionnelle, en ayant gardé son côté secret et inaccessible, je modernise mon image comme un produit ? »
Or, un produit n'est bon que s'il est accessible et « consommable » pour l'autre. Le fait de relooker du religieux, c'est se concentrer sur son packaging sans se remettre en question sur la qualité, l'accessibilité et la pertinence du produit.

Dans le cas de l'Armée du Salut, le fait qu'ils chantent du rock en uniforme et soient donc « reconnaissables » perturbe l'auditeur. Car ils se produisent dans le champ de la société civile, laïc, qui considère le monde religieux comme « hors de lui ». Ils font donc une incursion qui dérange. En terme de stratégie marketing, c'est risqué, car le récepteur du message a du mal à adapter l'image qu'il a du religieux -entre le discours très exclusif ou au contraire très libéral- à ce qu'il voit : un groupe d'officiers de l'Armée du Salut entrain de chanter du rock. Mais stratégiquement, c'est courageux et bien joué !

Rébecca Reymond






Café Philo sur la RSR
Du 1er au 5 mars 2010

Interview par Manuela Salvi

La crise économique vient-elle de la crise de confiance ?

"Les recettes du succès de l'Occident ne marchent plus aussi bien. Le libéralisme économique suscite la méfiance. Le profit à tout prix et le court-terme ont transformés notre société en machine à produire et le consommateur en objet de statistiques.
Exagéré? Peut-être.

Ce mouvement effréné a certes produit de la richesse, mais en oubliant l'individu, ses besoins, ses émotions. En oubliant le long terme. Verdict d'Eric Jaffrain: c'est une crise qui secoue l'être humain en profondeur. Une crise de l'âme.

Comment sortir de cette impasse? Serait-il urgent de retrouver un projet de société qui ne mise pas tout sur la performance? Replâtrer ne suffira pas. L'émergence de nouvelles valeurs et le besoin d'ancrage local sont peut-être le signe d'un besoin de sécurité tout autant qu'un début de renouveau".
M.S


5 sujets sont développés:
1. Société de la défiance, tous aux urgences?
2. Crise de confiance ou crise des valeurs?
3. Et si la confiance ne revenait pas?
4. Confiance perdue, confiance retrouvée
5. La confiance, un acte de foi?

=> Vous pouvez télécharger l'interview complète sur le site de la RSR :
http://info.rsr.ch/fr/rendez-vous/La_confiance_un_acte_de_foi.html?siteSect=1001&sid=11854413&cKey=1267770024000&programId=108616&bcItemName=le_cafe_philo&rubricId=3100&broadcastId=738253&broadcastItemId=11828506


=> Ou vous pouvez recevoir un CD gratuitement en écrivant avec la rubrique "contact" ci-contre.

Lire aussi : L'économie est en crise de foi
Cliquez sur ce lien :
http://www.marketing-non-marchand.ch/index2.php?rub=13






Radio Suisse Romande - Lundi 27 octobre 2009
Émission : Le Grand 8.

1- "Dieu n'existe probablement pas, cesse de t'en faire, profite de la vie"
Ce slogan débarque ce mercredi en Suisse allemande sur des affiches. Mais ce slogan, qui appelle à penser sans dogme, suscite la polémique et n'est pas le bienvenu dans plusieurs villes suisses...

2- Comment aménager des villes sans trafic de drogue?
Le conseiller municipal lausannois Marc Vuilleumier présentera mercredi à ses collègues un nouveau plan d'action contre le trafic de drogue...

=> Pour écouter l'émission (durée 30 minutes):
http://info.rsr.ch/fr/rsr.html?siteSect=1057




RSR, Émission "Hautes Fréquences" - dimanche 6 septembre 09.
Interview et débat sur deux sujets :

1- La déconnexion culture-religion
Offre t-on une vérité univoque à l'exemple des born again au USA ?

2- Le marché globalisé du religieux
Le religieux exportable est-il déculturé ?

=> Pour écouter l'émission :
http://www.rsr.ch/la-1ere/hautes-frequences
Ou demandez-moi un CD (gratuit) en utilisant l'onglet "Contact" ci-contre.




Radio Suisse Romande - Vendredi 11 septembre 09
Émission : Le Grand 8.

Débats sur 3 thèmes :
1- Les Etats-Unis devant le choix crucial de l'assurance pour tous.
Barack Obama affirme vouloir aller jusqu'au bout dans sa lutte pour la réforme de l'assurance-maladie aux Etats-Unis. Au fond, le peuple américain est confronté à cette question de fond, à laquelle il n'est pas habitué : l'Etat doit-il prendre en main ce terrain, et ainsi faire planer une menace sur la sacro-sainte liberté individuelle ?
2- L'économie ne ment pas, mais elle ne prédit pas l'avenir !
Propos signés Guy Sorman hier dans le Monde.
Pour l'écrivain et essayiste français, l'économie se trouve au croisement entre l'idéologie et la science...

3- Taxer nos émissions de C02 peut-il révolutionner nos comportements ?
L'instauration d'une taxe carbone sur la consommation de gaz, de pétrole et de charbon afin de lutter contre le réchauffement climatique. Est-ce vraiment la solution miracle ou juste une taxe supplémentaire ?


=> Pour écouter l'émission (durée 30 minutes):
http://info.rsr.ch/fr/rsr.html?siteSect=1057&startDate=2009-09-01&endDate=2009-09-30&selectedDate=2009-09-11&dateFormat=yyyy-MM-dd&hostname=




Radio Suisse Romande - Lundi 20 octobre
Journal du matin
Faut-il remettre en question le principe du bonus et des hauts salaires dans les banques ?

Débat dans le Journal du matin lundi 20 octobre : initiative du Parti socialiste contestée et le bonus des banquiers
L'alternative proposée par le parti socialiste au plan de sauvetage de l'UBS par la Confédération ne fait de loin pas l'unanimité. Selon le PS, pour recapitaliser la banque, la Confédération et les cantons doivent créer une société d'investissement, qu'ils détiendraient ensuite. Cette opération doit permettre aux pouvoirs publics d'avoir un droit de regard et de contrôle sur l'UBS et son management.

La Confédération prévoit d'aider l'UBS pour un montant de 68 milliard, est-ce acceptable ? Faut-il les limiter les bonus et les très hauts salaires des banquiers ? Débat entre Michel Halpérin, président du parti liberal genevois, et Eric Jaffrain, professeur à l'Université de Lausanne.

http://info.rsr.ch/fr/rsr.html?siteSect=201&playerMode=normal&&bcItemId=9868037&bcid=615009&contentDisplay=




Radio Suisse Romande - Le Grand8
Mardi 21 octobre : Un juste salaire, c'est quoi ?
Les grands patrons gagnent beaucoup trop. C'est indécent. C'est dégueulasse. C'est immoral. Les salaires en millions des Vasella, Ospel et autre Brabeck scandalisent. Trop, c'est trop dit la rue! Surtout lorsque l'Etat doit injecter des milliards dans une entreprise comme UBS...
Pour écouter l'émission :
http://g8.rsr.ch/?p=356




RSR - 27 juillet 2008
Consommer moins pour vivre mieux ?

Ecouter l'émission "Haute définition" de dimanche dernier (27 juillet 08): Une interview d'Eric Jaffrain par Manuela Salvi sur la Radio Suisse Romande.

Le lien social comme transaction performante pour le secteur marchand.

=> Pour télécharger l'émission :
http://info.rsr.ch/fr/rendez-vous/Consommer_moins_pour_vivre_mieux.html?siteSect=1001&sid=9344433&cKey=1216905794000&bcItemName=haute_definition&broadcastId=597613&broadcastItemId=9267852&rubricId=4600&programId=161348&bcItemName=haute_definition

Vous aurez également la possibilité d'écouter l'interview intégral (de 30 minutes sur le site de la radio.

N'hésitez pas à transmettre vos commentaires et vos questions auquelles j'aurais plaisir de vous répondre !




Autre infos Médias :http://marketing-non-marchand.ch/index2.php?id=1065






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Eric Jaffrain - rue du Château - CH-1063 Chapelle-sur-Moudon - info@marketing-non-marchand.ch
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